19 mars 2010

23 février 2010

Un livre dans l'espace urbain?

Il partirait du mur, du sol ou de l'escalier. De ce mur particulier qu'est celui de la préfecture d'Orléans, et dont l'éclairage de nuit, convoque une belle scénographie d'objet.
Ce mur est aussi pourvu d'une histoire...Le livre aurait alors pour fonction de parler de celle-ci, de façon ludique, en tentant de rester dans le même esprit que le précédent.

[ PROJET ET REFLEXION EN COURS ]

03 février 2010

Une vidéo pour le moins intéréssante

Tips for Better Ideas from Andrew 'Big Show' Blodgett on Vimeo.


Elle traite de cette question de ce que je vois et ce qui est caché, ce que je veux montrer et ce qui est à découvrir; on y trouve ainsi une pluralité d'utilisations des modes du livre, dans un travail graphiquement beau et intéressant, riche de ce qu'il propose. Ainsi, on y trouve du pop-up, du leporello et d'autres formes de du livre : un tout qui se retrouve finalement dans un livre classique, renforçant cet aspect surprise utilisé tout au long de la lecture. De même on y trouve jeux graphiques à la fois de couleurs et de typo, qui maintenant l'attention du lecteur du début à la fin.
Toutefois, en voyant cette vidéo, une question demeure : s'intéressons-nous, au graphisme autant qu'à l'histoire qui nous est relatée dans l'ensemble des textes? ou se laisse-t-on simplement prendre au jeu du graphisme en oubliant que l'auteur voulait nous dire quelque chose?

24 janvier 2010

Quelques vues des dernières maquettes















Sacrifices du format au bénéfice d'une maquette faite en un seul morceau, sans collages. Cependant, dans l'idéal, je souhaite conserver le format 15X15 cm, qui diffère de celui-ci : 6,5X6,5 cm que l'on voit ci-dessus.

15 janvier 2010

Plus de "punch" !!

On peut faire un lien entre mon travail et celui de Pippo Lionni. Cet artiste, graphiste, musicien, et designer, remet en question le monde qui l'entoure par le biais de pictogrammes.

Ici, on retrouve l'idée d'une "mise en page" assez particulière, le pictogramme semble coupé, comme moi je coupe les textes de mon livre.

En revanche, Pippo Lionni, travaille la couleur d'une façon amusante et offre une réelle dynamique à son travail : c'est peut-être cela que je dois ajouter à mon travail.

Pourquoi faire compliquer quand on peut faire simple?

Trop d'éléments entre en compte et compliquent finalement le livre qui est à l'origine assez complexe en lui-même...
Retour aux sources : Un texte qui doit être parcouru tout au long du livre dans sa totalité pour pouvoir être compris. Un lecteur qui soit guidé par un mode "sensible" du signe qui lui indique comment manipuler le livre. Un livre vu comme un jeu de piste qui porte un intérêt particulier pour aller loin dans la manipulation. Un objet qui joue avec l'espace.

Tentative pour un meilleur aperçu

J'ai rencontré plusieurs problèmes techniques, lors de la mise en place du projet pour une maquette un peu plus finalisée...En effet, dans mes dernières recherches j'avais pensé notamment changer la couleur du papier où il y aurait les signes de mains comme pour dire "ici il va falloir mettre ses mains"; auquel cas, le signe nous indiquerait comment. Aussi techniquement, le recto verso d'un gaufrage sur une même page allait être compliqué. De fait, pour solutionner cela, j'ai voulu qu'au recto du livre il y ait, à défaut d'avoir du gaufrage, une légère touche de matière type velour sur une des deux parties.


Toutefois, j'ai rencontré un problème majeur au niveau de ma proposition : dans une impression recto verso, il y a toujours un décalage, et malheureusement je l'ignorais. La seule solution est d'imprimer les deux pages les unes après les autres puis de les coller, or, avec cela, on n'obtient pas une bonne finition. Cependant, ce fut un mal pour un bien, car je ne suis pas mécontente du résultat. Cela dit, techniquement encore, tout devient compliqué...
J'ai voulu intégrer une couleur sur le signe mais parfois ce signe là se trouve au verso, donc difficile d'y mettre de la couleur, car je ne peux gérer de façon précise, le recto et le verso sans les coller. J'ai alors pensé à mettre une espèce de point de couleur, une zone de couleur, plus approximative, mais qui paradoxalement, me permettrais d'être un peu plus précise puis rendrait le travail intéressant.